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Il fait l’hélicoptère avec son sexe et décoiffe 7 personnes (dont un chauve)

Il fait l’hélicoptère avec son sexe et décoiffe 7 personnes (dont un chauve)

C’est à Moissy-Cramayel, en plein épisode de forte chaleur que s’est produit le drame.

Les pensionnaires de l’EHPAD de Réau se souviendront longtemps de leur sortie à Moissy-Cramayel.

Ils avaient alors fait le déplacement jusqu’à Moissy-Cramayel pour assister à un spectacle musical. Un artiste de la ville, que nous nommerons Didier*, se produisait bénévolement à la salle polyvalente de la ville. Cependant, cette salle possède un sérieux problème en période estivale : elle n’est pas climatisée. C’est ce que déplore Madame le Maire de Moissy-Cramayel, Line Magne : “on a parfois très chaud à Moissy-Cramayel, surtout avec Didier*, il faut le dire”.

“On a parfois très chaud à Moissy-Cramayel”

Au milieu du concert, alors que la température dans la salle avait atteint des valeurs tropicales, Didier* commença à s’inquiéter pour son public.

Ni une, ni deux, l’artiste baissa son pantalon, pris son sexe à la main et l’entraina dans une rotation effrénée. Dans un premier temps, le succès fut au rendez-vous, les spectateurs et spectatrices en sueur apprécièrent le geste. Mais c’est au bout de quelques minutes que le courant d’air prit un tournant dramatique.

Quand l’artiste arrêta sa cavalcade, on constata avec stupeur les dégâts : sept personnes avait été décoiffées. Des hommes et des femmes, la tragédie n’avait épargné aucun genre.

La Maire de Moissy-Cramayel, encore sous le choc, nous a fait part de son témoignage sur le lieu du drame : “la puissance du vent était affolante. Vous vous rendez-compte, même un chauve a été décoiffé”.

“La puissance du vent était affolante”

Pour l’heure, seul le coiffeur Noël Mam’Hair de Moissy-Cramayel semble tirer profit de l’affaire. Pour la mairie de Moissy-Cramayel, l’EHPAD de Réau et l’artiste, l’heure n’est pas à l’apaisement : chacun se rejette les responsabilités du drame.

La DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile) a également fait part de son agacement. Elle a rappelé que la hauteur minimale de survol pour un hélicoptère monomoteur sur une agglomération de plus de 3 600 mètres de largeur est de 500 mètres d’altitude.

Le commissariat de Moissy-Cramayel a de son côté ouvert une enquête pour “entrave au maintient capillaire en période caniculaire”.

*Le prénom a été changé. En effet, Francky Vincent préférait garder l’anonymat, ce que nous respectons avec la plus grande rigueur.

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