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Plus d’un cheminot sur deux serait atteint de la cascouilleterose

Plus d’un cheminot sur deux serait atteint de la cascouilleterose

Une étude berrichonne a mis en exergue une nouvel élément de pénibilité chez les conducteurs de train

[Article en construction]

Voilà plus de sept jours qu’a démarré une des plus gros grèves interprofessionnelles de la décennie. Hélas pour le gouvernement, une étude berrichonne justifierait on-ne-peut-plus la grève actuelle. En effet, dans cette étude, des éléments montreraient une nouvelle facette de la pénibilité du métier de cheminot.

Une maladie méconnue

Cette maladie, qui ne touche pas que les salariés des transports en commun, met le malade dans une position très pénible vis-à-vis de ses tiers.

Une maladie qui rend homophobe ?

Ce n’est pas chez les cheminots que ceci a été constaté mais chez des conducteurs de bus. En effet, des salariés RATP en grève ont été pris spontanément de propos homophobes à la vue d’un bus en fonctionnement. Selon certains spécialistes, l’impact syndical CGT ne serait pas à négliger.

Des cheminots philanthropes

Au premier abord, nous pourrions penser que cette grève repose sur du pur égoïsme : maintenir un régime injuste, déficitaire et financé majoritairement par des français n’en profitant pas. Mais non, les salariés SNCF et RATP en grève font ça pour les autres, pour le bien commun. “On fait ça pour vous” comme ils aiment le dire. C’est peut-être le paradoxe de la cascouilleterose, une philanthropie sans commune mesure.

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